L’univers de Dom permet au public Français de découvrir le chanteur, guitariste, pianiste, bassiste et auteur-compositeur Dom, qui, au début des années 90, gravitait dans le milieu de la pop-soul hexagonal.

Partis à Londres puis à Los Angeles, Dom s'est ensuite installé à Minneapolis, où il a rencontré plusieurs musiciens de Prince, monté plusieurs groupes et collaboré avec le chanteur Alexander O'Neal (produit par le tandem Jimmy Jam et Terry Lewis). Au répertoire, des compositions personnelles présentées comme la fusion entre la pop, les musiques orientales et la soul.

Sylvain Siclier, Le Monde

Là où je suis née
Il n'y a pas de gare
Il n'y a pas de route
Même pas de trottoir

Là où je suis née
Il n'y a pas de phare
Il n'y a pas de train
Loin dans le brouillard

Oh je lis dans vos yeux
Que je ne peux pas compter sur vous

Mais j'y retournerai
J'irai seule c'est ma vie après tout

Là où je suis née
Il n'y a pas de gare
J'y vais en secret
Rien que de mémoire

Il y a des odeurs de lessive
De fleurs et c'est si doux

Il y a des cabanes dans les arbres

Et de l'amour surtout

Là où je suis née
Il n'y a pas de guerre

Et les hommes sont de toutes les couleurs

Oh je lis dans vos yeux
Que je ne peux pas compter sur vous

Mais j'y retournerai
J'ai oublié le chemin c'est tout

C'est tout...

JE L'AI FAIT! JE L'AI FAIT! JE L'AI FAIT!

J'ai démissioné de mon job de martyre (et non je n'exagère pas!). bon ben c'est super, c'est cool la liberté... Certe j'avais besoin de repos, mon arrêt maladie s'étale bien en durée, mais ça ne peut pas durer non plus...

1ère semaine: OUF, un peu de repos, je vais enfin pouvoir souffler.

2ème semaine: Excellent, j'ai du temps pour moi, je peux enfin voir mes amis!!

3ème semaine: Heu...

Bref vivre sans repères temporels, vivre face au vide ça va un moment mais ça ne rapporte pas de sous. Etape obligée pour mieux marquer la transition? Peut être bien; chacun est libre de penser ce qu'il veut.

Délire du moment sur http://www.putfile.com

http://media.putfile.com/City-Hunter

"La prostitution est sans doute un des fantasmes les plus rйpandus chez les femmes. Master & Johnson tout comme Shere Hite, l'ont déjà noté. Peu passent pourtant а l'acte. Par angoisse, par morale ou plus simplement parce que tous les fantasmes ne sont pas а vivre!

Internet a pourtant bien facilité les choses. Les sites d'escortings fleurissent, d'autant que la prostitution est combattue de faзon plus agressive dans la rue. Les sites d'escorts sont pratiques pour recruter des clients, et réciproquement, pour ceux-ci de se faire une idée et une sélection. Sur escort-girl.biz, c'est, par exemple, 306 femmes qui proposent leur charme. Il y en a pour tous les goûts. Et comme le notait déjа la psychanalyste Françoise Dolto, ce ne sont pas les plus belles qui ont le plus de succés. Chacun cherche dans une prostituée une image perdue, qui peut avoir tant d'apparences différentes!

En théorie l'escorting est plus de l'accompagnement d'hommes d'affaires, pour des dоners ou des sorties en boоte. En pratique, il s'agit de prostitution haut de gamme, pas toujours faite par des femmes occasionnelles. Les tarifs sont conséquents, les prestations pas nécessairement conséquentes. En trois heures, un escort gagnera le salaire d'une semaine de travail d'une assitante de direction. Cela a de quoi déboussoler, et peut expliquer que les occasionnelles deviennent accroc. Perdant de vue la première approche ludique et fantasmagorique pour une approche purement financière. Perdant sans doute là, non seulement leurs repères, mais aussi beaucoup d'illusions et de fraicheur quant aux relations avec les hommes. La spirale est infernale, est-il possible de s'en relever?

Une amie (note personelle: c'est comme ça qu'on parle de ses amis/amies??? Vas-y mec déballe sa vie, elle te dira rien!!!!!!!!!) ayant passée une grande partie de sa jeunesse а se prostituer m'expliquait que les femmes vénales avaient un rapport а cet argent gagné très difficile. Elle n'en connaissait pas une qui n'ait tout fait pour le dépenser le plus vite possible, comme pour se vider d'une mauvaise conscience latente.

Les pièges sont nombreux. Celui de se perdre totalement, celui de se marginaliser. Le risque également d'une mauvaise rencontre. Ou au contraire de rencontres avec des hommes qui s'attachent trop, voulant croire que l'escort a d'autres envies que se donner contre de l'argent. Une amie, (note personelle: Encore une!!!!! Pas de doute c'est un client!!) une autre encore, m'expliquait que là était la porte de sortie des plus jeunes, se trouvant alors un homme libre, et riche pour les épouser.

Il y a peut être d'autres moyens de vivre ses fantasmes sans prendre de tels risques? Même si je n'arrive pas а comprendre quel peut bien être le problème de vendre son corps. N'est ce pas ce que nous faisons toute la journée pour notre employeur?" (Note personelle: On doit pas avoir les même rapports avec nos employeurs...)

source: http://www.espace-blog.com/blog.asp?id=1012&article=3443

Quand il faudrait aider le pauvre
Et quand ce pauvre a plein de frères



Et que ces frères sont des millions
Que ces millions sont des milliards
Que ces milliards sont l'humain




Mais des milliards d'humains
Ça vaut pas des milliards

Quand il faut garder Pinochet
Et tous les autres petits insectes



On en a du temps à perdre
Et puis faut oublier

Y'a pas une dictature
Qu'on a n'a pas financée
Y'a pas une mitraillette
Qu'on a pas fabriquée
Quand on laisse crever
Parce que soigner le pauvre
Non, monsieur, ça paye pas
Quand on laisse s'entretuer
Parce qu'armer le pauvre
Oui, monsieur, ça paye bien
Et quand il faut sauver Bouddha
Y'a pas de minutes de silence
Tant qu'y a pas marqué dollar
Y'a pas de minutes de silence

Mais pour sauver la bourse
Et le peuple bourgeois...

God Bless America

Laisser crever, c'est pas un crime
Quand on est économiste
Laisser crever, c'est pas un crime
Quand on est économiste

Ô, mon pays, je prie pour toi,
Pour tous mes frères,
Et pour moi-même,

Que la justice n'existe pas
Car s'il en est une
On est mort

Ô, mon pays, je prie pour toi
Pour tous mes frères
Et pour moi-même
Que la justice n'existe pas
Car s'il en est une
On est mort

Quand le World Crade s'enterre,



C'est bien triste quand même





Quand le World Crade s'enterre,

On se souvient, Massoud...

Y a une semaine j'étais encore à distribuer mes flyers pour un nouvel évenement Funky (pour toi ma chère Pi Elle! ;-) ) Tout s'est bien passé comme d'hab', distribution plus démarche chez les disquaires...

Sauf un!!!!

"Bonjour Monsieur le disquaire, puis je vous déposer un petit Flyer s'il vous plait? C'est pour un super concert qui a lieu samedi...

- Ah non, je regrette mademoiselle, c'est impossible?

- Vraiment? Ben vous êtes bien le seul disquaire du quartier à empêcher de telles pratiques, tous vos concurents dans la même rue ont tenus un discours complétement différent...

- Je suis bien d'accord avec vous mais c'est la direction qui nous donne ce genre de consignes...

- Votre direction aurait donc des méthodes différentes? En quel honneur, C'est pas très commerçant de leur part...

- Je suis tout à fait d'accord avec vous (BIS!), on a essayé de discuter mais rien n'y fait... Mais écouter vous pouvez toujours laisser un flyer sur le présentoir là bas...

- Vous avez un présentoir et vous n'acceptez pas les flyers, c'est bizarre...

- Tout à fait d'accord avec vous (ENCORE!), mais vous prenez un risque, si le responsable débarque il jettera aussitot votre flyer à la poubelle...

- A la poubelle??! PARDON!!! Mais c'est pas de la pub là que je vois sur le présentoir???

- Ah ça c'est pas pareil, c'est des accords qui ont été passé entre le patron et ses labels là, il a payé un abonnement...

- Si je comprends bien, monsieur le disquaire, faut payer pour promouvoir une soirée chez vous alors que vous êtes le seul discaire de l'arrondissement à avoir de telles pratiques...

- Je comprends votre réaction, mais vous savez, le patron, y a pas trop moyen de discuter avec lui, il est un peu étroit d'esprit...

- C'est un discaire et il est étroit d'esprit!! Et en plus vous travaillez avec lui!!!

- Oui, je suis bien d'accord mais... (SHUT UP!)

-Mais il s'est trompé de métier celui là... La musique c'est universel, c'est l'ouverture de l'esprit...

- Je suis bien d'accord avec vous (ad libitum..)"

" Je suis un asthmatique de l'âme. Je veux dire par là que l'époque me pose un problème respiratoire. C'est ce qui m'a conduit très tôt à chercher, dans le fatras de mes années 90, quelques espaces, deux ou trois idées... pour respirer. Je pense ne pas être le seul. Au contraire, je veux bien prendre les paris : ce JE suffocant est un NOUS ; le NOUS d'une génération qui a façonné sa conscience entre deux dates curieusement symétriques : 9/11 pour 9 novembre 1989. 11/9 pour 11 septembre 2001. La chute d'un mur et la chute des tours. Boum derrière. Badaboum devant. Deux fois 9, deux fois 11, et deux effondrements. [...]. Je rage chaque jour de l'impudeur avec laquelle les vieux s'étalent et se répandent. Qu'ils meurent, bon sang, et emportent avec eux leurs souvenirs, leur État, leur libération sexuelle, leurs révolutions ratées, leurs désillusions. L'histoire qu'ils écrivent, nous n'en voulons plus. La nôtre, la voilà ! "

"J'espère faire comprendre ainsi le rôle du "parler vrai", le vrai tel que ces adultes le communiquent à des enfants qui, non seulement le désirent inconsciemment, mais ont besoin de la vérité et y ont droit, même si leur désir conscient lorsqu'ils s'expriment en paroles, à l'invitation des adultes, préfère le silence trompeur qui génère l'angoisse, à la vérité, souvent douloureuse à entendre mais qui, si elle est parlée et dite de part et d'autre, permet au sujet de s'en construire et de s'en humaniser. "
Françoise Dolto affirme ici la nécessité en toutes circonstances - le divorce, la mort, la circoncision, l'adolescence, l'adoption, etc. - du parler à l'enfant : c'est souvent jusque dans et par son corps que l'enfant exprime ce qu'il ne peut parfois signifier autrement. "